Nouvelles options, nouveaux imaginaires
L’entreprise, qui travaille aujourd’hui avec plus de 300 marques dans le monde, a démontré ses progrès technologiques dans la production de fausse fourrure respectueuse de l’environnement. Par exemple, Ecopel a été la première à développer des fourrures partiellement à base de maïs et de chanvre et à mettre au point une fourrure biodégradable et cruelty-free.
Le meilleur atout de l’entreprise, c’est qu’elle mise sur la créativité pour assurer l’avenir de la fausse fourrure dans la mode. Ecopel est à l’origine de l’utilisation de la fausse fourrure par tes marques et tes célébrités préférées. Jette un œil sur leur page Insta : tu verras que le manteau de fourrure vert de Rihanna, conçu par la marque new-yorkaise Area, ou la cape géante de Jeremy Pope avec un portrait de Karl Lagerfeld, conçue par Balmain et qui a ébloui tout le monde au Met Gala, portent la signature technologique d’Ecopel. Au-delà des noms établis, l’entreprise apporte régulièrement son soutien aux étudiants et jeunes créateur.rice.s, comme par exemple l’incroyable designer Tom Van der Borght. Neofur, son premier concours de design met en compétition des étudiants de l’Institut français de la mode (IFM) et du London College of Fashion, avec l’idée de repenser l’utilisation et les possibilités de la fausse fourrure. Ainsi les matières viennent de la House Of Faux Fur, nouveau service d’Ecopel dédié uniquement aux matières recyclées ou bio-fabriquées.
Pour nous il est très important de soutenir la nouvelle génération de designers. La fausse fourrure est une matière feel-good qui se réinvente sans arrêt. Nous sommes impatients de voir les premières créations des étudiants. Affirme Julien Sarfati membre du jury Neofur et fondateur de Le Tapis Rouge Paris.