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Faux real ! L’avenir de la fausse fourrure est chez Ecopel

Longtemps restée dans l’ombre de la fourrure animale, le mouvement faux fur fait sa révolution. Portée par Ecopel qui ouvre la voie en lançant une multitude d’initiatives positives dont Neofur, une design compétition de mode utilisant des matières éco fournies par House of Faux Fur, son nouveau service dédié aux fausses fourrures à impact réduit.

L’utilisation de la fourrure a provoqué les débats les plus houleux de l’histoire de la mode. Que ce soit pour se protéger du froid ou comme marqueur tribal, l’usage de la fourrure animale remonte à loin dans l’histoire humaine. C’est au XVe siècle que la fourrure a commencé à être utilisée dans la mode – c’est-à-dire comme symbole de statut social et non par nécessité –, sous l’impulsion des cours royales européennes et de la colonisation du “nouveau monde”, qui fournissait des fourrures plus exotiques vite devenues trendy. Dans l’histoire récente de la mode, c’est au XXe siècle que le monde occidental s’est emparé de la fourrure. Dans les clinquantes années 1920 et 1930 ou dans les extravagantes années 1980, la fourrure est devenue ultra-demandée dans la mode, créant de nouvelles techniques et se démocratisant, pour finir par s’ancrer dans l’imaginaire de la pop culture de l’époque comme le symbole du luxe.

© Ecopel/Hugo Dumas

Le faux : retour vers le futur

Fast forward au XXIe siècle : c’est fini, la fourrure n’est plus cool. Sa symbolique et son imaginaire sont toujours présents dans la mode, mais la société est devenue plus consciente de sa cruauté, à la fois envers les animaux et l’environnement. Dans les 20 dernières années, le mouvement contre l’utilisation de la fourrure animale dans la mode s’est intensifié et un grand nombre de maisons de luxe et de marques de fast fashion ont complètement banni la fourrure et les peaux animales de leurs collections. Et à travers les réseaux sociaux, de plus en plus de gens s’engagent, dénoncent l’utilisation de la fourrure animale et sensibilisent les autres à ce sujet. Alors, si utiliser de la fourrure animale n’est plus acceptable, mais que le mythe de la fourrure reste puissant dans l’industrie de la mode, quel futur pour la fur ?

C’est là que la fausse fourrure entre en scène ! Tandis que l’utilisation de fourrure animale était progressivement bannie, les options alternatives ont gagné du terrain. La fausse fourrure est aujourd’hui devenue la meilleure alternative à la fourrure animale. Grâce à des progrès technologiques constants, elle a gagné sa place dans la mode de luxe jusqu’à perdre son statut de “fausse”. Des entreprises comme Ecopel, qui est aujourd’hui le leader de la fabrication de fausse fourrure de luxe, ouvrent la voie en incorporant des avancées technologiques et des savoir-faire qui rapprochent la fausse fourrure de la qualité, du toucher et de la durabilité des fourrures naturelles. Elles permettent le développement d’une expression créative et la création de nouvelles façons d’utiliser la fourrure que la nature ne permet pas.

Nouvelles options, nouveaux imaginaires

L’entreprise, qui travaille aujourd’hui avec plus de 300 marques dans le monde, a démontré ses progrès technologiques dans la production de fausse fourrure respectueuse de l’environnement. Par exemple, Ecopel a été la première à développer des fourrures partiellement à base de maïs et de chanvre et à mettre au point une fourrure biodégradable et cruelty-free.

Le meilleur atout de l’entreprise, c’est qu’elle mise sur la créativité pour assurer l’avenir de la fausse fourrure dans la mode. Ecopel est à l’origine de l’utilisation de la fausse fourrure par tes marques et tes célébrités préférées. Jette un œil sur leur page Insta : tu verras que le manteau de fourrure vert de Rihanna, conçu par la marque new-yorkaise Area, ou la cape géante de Jeremy Pope avec un portrait de Karl Lagerfeld, conçue par Balmain et qui a ébloui tout le monde au Met Gala, portent la signature technologique d’Ecopel. Au-delà des noms établis, l’entreprise apporte régulièrement son soutien aux étudiants et jeunes créateur.rice.s, comme par exemple l’incroyable designer Tom Van der Borght. Neofur, son premier concours de design met en compétition des étudiants de l’Institut français de la mode (IFM) et du London College of Fashion, avec l’idée de repenser l’utilisation et les possibilités de la fausse fourrure. Ainsi les matières viennent de la House Of Faux Fur, nouveau service d’Ecopel dédié uniquement aux matières recyclées ou bio-fabriquées.

Pour nous il est très important de soutenir la nouvelle génération de designers. La fausse fourrure est une matière feel-good qui se réinvente sans arrêt. Nous sommes impatients de voir les premières créations des étudiants. Affirme Julien Sarfati membre du jury Neofur et fondateur de Le Tapis Rouge Paris.

 

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Difficile de dire à quoi ressemblera exactement l’avenir de la fausse fourrure, mais la vérité, c’est que la mode fait des pas de géant ces derniers temps vers le bien-être animal mais sans occulter l’héritage de la fourrure dans l’industrie. La créativité est la locomotive qui a fait et fera toujours avancer l’industrie de la mode et en répondant aux questions environnementales et éthiques de notre époque par la créativité, l’inclusivité et le progrès technologique, je crois vraiment que l’avenir de la fausse fourrure sera radieux et inattendu.

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