Chez Hermès, Véronique Nichanian a présenté une collection façon quiet luxury, l’un des fondamentaux d’Hermès, en l’associant à une “sensualité tranquille”. Les transparences et les tissus légers ont ajouté de la douceur et de la sensualité à la collection qui mettait l’accent sur l’artisanat et le confort, créant ainsi une garde-robe aussi luxueuse que désirable et, bien sûr, extrêmement luxe !
Chez Sean Suen, les sous-vêtements et les mini-shorts et jupes ajustés, combinés à des détails brodés bien placés, ont donné à la collection une ambiance à la fois confortable et kinky, tandis que chez Lazoschmidl – un autre roi du sexy sur les podiums –, les strings speedos et les shorts à zips ouverts envoyaient le même genre de vibe. Chez Koché, c’était aussi chaud que dans les rues de Paris avec un mélange de transparences et de plumes qui contrastent les unes avec les autres.
De manière générale, c’était génial de voir la sensualité et la sexualité être revisitées dans la mode masculine. L’image de cette sensualité non binaire, libre et expressive faisait plaisir à voir, même si elle était atténuée par le manque de diversité corporelle sur les podiums. À l’exception de LGN et Doublet, aucun défilé n’a présenté de mannequins grande taille – ou tout autre type de diversité corporelle – dans des looks masculins, et c’est juste triste à voir. Espérons que dans un avenir proche, nous pourrons célébrer le sexy sous toutes ses formes et dans toutes ses tailles, car la mode doit apprendre une fois pour toutes que le sexy est pluriel ! 😉