Métavers, 3D, réalité augmentée : des sujets qui posent beaucoup de questions que cinq femmes talentueuses ont commentés au dernier talk NYLON x Fondation des Femmes x Galeries Lafayette. Voici les highlights.
Mercredi 22 mars avait lieu le nouveau talk organisé par NYLON, la Fondation des Femmes et les Galeries Lafayette, qui traitait des femmes et de la création digitale. Un débat modéré par notre executive editor Alice Pfeiffer, durant lequel quatre femmes nous ont raconté leur parcours et ont discuté de leurs expériences et de leurs visions.
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C’est une directrice artistique Web3 et designer sustainable experte en upcycling qui travaille surtout autour du corps de la femme. Ses trucs du moment : la sculpture et la création de vêtements en matière irréaliste comme l’eau ou la lave.
“Ce qui me plaît par-dessus tout, c’est la non-limite du monde de la 3D.”
“Tu as une notion de liberté extrême, il n’y a aucune limite de créativité : si tu veux mettre quelqu’un de géant, de petit ou même à trois têtes, tu peux le faire, et c’est complètement sustainable. C’est très sain car il y a très peu de besoins de production.”
Créatrice de make-up et artiste digitale, elle a commencé sa carrière en direction artistique en publicité dans le make-up, jusqu’au jour où elle a décidé de mélanger sa passion pour la tech et le maquillage et de se lancer… dans le make-up digital. Elle crée donc du maquillage en réalité augmentée qu’on peut porter en ligne.
“Mon but, c’est d’aller au-delà des standards de beauté actuels et au-delà des filtres qui rendent beau.”
“Je pense que cette technologie va permettre, dans le futur, plus de transparence dans les produits qu’on consomme”
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@farahhml
Après huit années dans le digital pour la télévision et pour le cinéma, elle est aujourd’hui dans le digital pour le digital et gère les partenariats avec les créateur.rice.s Instagram chez Meta.
“Mon job, c’est de coacher les créatrices de contenus pour qu’elles aient tout en main pour pouvoir s’exprimer”
“Je fais ce métier parce que je suis émerveillée de travailler avec des gens qui font ça. Je veux trouver les moyens de protéger ces artistes, ou du moins permettre d’avoir de l’impact et de changer les choses !”
Créatrice de haute couture technologique, elle intègre le numérique dans le physique. Anciennement graphiste pour des sites web, Clara a fait un master en design du vêtement à Paris après un voyage en Inde qui lui a redonné l’envie de travailler le textile. Elle mélange aujourd’hui les deux, en travaillant entre autres avec Dress X.
“Ce qui me passionne toujours, c’est ce côté interactif dans la matière. Les gens sont toujours émerveillés quand ils voient des vêtements qui s’illuminent.”
“Les gens ont des difficultés à comprendre que c’est quand même un vêtement. On veut me mettre dans une case alors qu’il n’y a pas lieu. Le fait d’y emmener de la technologie, c’est comme une forme d’artisanat et de couture.”
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