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Musique

Il était une fois… Ronisia

Portée par le succès de son single “Atterrissage”, la jeune chanteuse de 22 ans vient de partager son premier album éponyme. Un disque qu’elle défend dans toute la France à partir de ce printemps.

Photographes : Alex Brunet & Olga Varova
Styliste : Joy Kitenge


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Robe MAISON RABIH KAYROUZ
Gants PIERRE DEMONES
Bague BARBARISME PARIS
Sandale à talons AMINA MUADDI

Depuis ses débuts en 2019 avec “Plus de peine”, Ronisia a enchaîné les succès. Il y a d’abord eu la sortie de son titre “Atterrissage”, qui l’a fait basculer de l’ombre à la lumière en 2020 grâce à l’énorme retentissement qu’il a connu sur TikTok par le biais du #AtterrissageChallenge. Il y a également eu, dans la foulée, sa signature avec le label Epic Records France, qui représente notamment les rappeurs Gazo, Frenetik et Gianni. En avril 2021, la jeune femme s’est unie à Joé Dwèt Filé sur “Jolie Madame”, qui deviendra son premier single de platine, avant d’assurer les premières parties de Burna Boy et de Dadju sur la scène de l’Accor Arena. Et comme pour couronner une année déjà bien remplie, en décembre 2021, son visage est exposé en plein Times Square dans le cadre du programme “EQUAL” de Spotify, qui entend donner de la visibilité aux artistes féminines. “Tout ça alors que je n’avais pas encore sorti d’album”, commente-t-elle, visiblement encore étonnée de ces évènements.

C’est désormais chose faite puisque la native du Cap-Vert a dévoilé le 28 janvier dernier Ronisia, un disque de 16 titres sur lequel on retrouve Ninho, Eva et Tiakola. Porté par l’entêtant “Mélodie (Tatami)”, cet album précise les contours de son univers teinté de rythmes afro-caribéens et de R&B. Et si elle nous y parle principalement d’amour – son thème de prédilection –, la chanteuse et autrice rend également hommage à ses racines en prônant son attachement à son Cap-Vert natal (“Nha Terra”, interprété en français et en créole) et son adoration pour le R&B des années 2000 (“Bonnie & Clyde”, qui reprend l’iconique “Fruit défendu” de Mystik & K-Reen). Un premier album en forme de carte d’identité que Ronisia s’apprête à faire vivre dans le cadre de sa tournée française Roni Tour, qui débutera ce 29 mars à la Cigale à Paris.

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Beaucoup de choses se sont passées pour toi depuis tes débuts en 2019. Comment vis-tu cette fulgurante ascension ?

Je suis fière et en même temps très surprise, car c’est assez incroyable de voir tout ce qui a pu m’arriver au bout de seulement trois ans : les singles d’or et de platine, les premières parties de Burna Boy et de Dadju, l’affiche à Times Square, et plus récemment la sortie de mon premier album Ronisia, qui reçoit un super accueil de la part de mon public. Je ne te cache pas que j’étais très stressée avant de le sortir. Je me demandais si les gens allaient prendre le temps d’écouter une artiste qu’ils connaissent à peine, puisque ça fait très peu de temps que je suis dans le game. Mais finalement, j’ai eu beaucoup de bons retours… Je suis hyper rassurée !

Est-ce que la jeune Ronisia aurait pu s’imaginer tout cela ?

Pas du tout. Parce que la jeune Ronisia ne rêvait pas du tout de cela. En 2018, un an seulement avant que je ne commence à faire de la musique, j’étais dans mes études d’éducatrice spécialisée. Donc tu vois, je n’étais pas du tout prédestinée à ça ! (Rire.) Être sur le devant de la scène, chanter devant des gens, faire des interviews et des shootings comme on est en train de le faire aujourd’hui… Je n’aurais jamais pensé que ce serait fait pour moi.

Comment la musique est entrée dans ta vie ?

J’ai toujours chanté, mais… dans ma salle de bains ! (Rire.) Disons que je chantais juste comme ça, pour rigoler, chez moi ou avec mes copines. Mais les choses ont changé le jour où j’ai été encouragée par Oussi, un grand de mon quartier, et Makhtar (qui sont aujourd’hui ses manageurs, ndlr). Ils m’ont pris sous leur aile en me disant : “Tu devrais tenter, si ça se trouve, tu vas kiffer !” Et c’est exactement ce qu’il s’est passé. Je me souviendrai toujours de la première fois que j’ai chanté derrière un micro. On s’est tous ensemble rendu dans une maison avec un studio, et ils m’ont encouragée à écrire un texte sur une prod qu’ils avaient faite. Au début, j’étais super bloquée, je me disais : “Mais attends, si ça se trouve, je vais dire n’importe quoi, et puis je ne sais pas comment ma voix va sortir !” C’était impressionnant pour moi. Résultat… Je n’ai pas du tout kiffé. (Rire.) Je n’ai pas kiffé m’entendre, je n’ai pas kiffé ce que je disais dans la chanson… Mais j’ai quand même décidé de recommencer. Et rapidement, j’ai fini par kiffer.

Parlons de ton premier album, Ronisia, un disque nourri par des histoires d’amour, d’amitié mais aussi par tes ambitions et ton attachement à tes racines cap-verdiennes. C’est un peu comme une carte d’identité finalement, non ?

Je n’avais pas de plan en entrant en studio pour faire cet album. Je ne me suis jamais dit : “Ah, il faut que je parle de tel sujet sur cette chanson, de tel autre sujet sur celle-là…” Cet album, je l’ai fait au feeling, j’y ai raconté tout ce qui me passait par la tête. Après, je dirais quand même que le thème principal est l’amour, parce que c’est le thème avec lequel je me sens le plus à l’aise, et parce que c’est un thème universel, qui parle à tout le monde. Mais comme tu dis, il y a aussi des thèmes plus personnels, comme lorsque je parle de mes origines sur “Nha Terra”, un morceau que je me sentais obligée de mettre dans un projet qui porte mon prénom. Cet album, c’est donc un peu comme une carte de visite dont le but est d’expliquer qui je suis, de présenter ma musique. Je partirais peut-être sur un thème plus précis pour le deuxième album, mais pour le premier, je voulais faire quelque chose qui me ressemble, et à travers lequel mon public puisse me connaître davantage. 

Cet album est aussi marqué par toutes tes influences musicales : il y a des sonorités afro-caribéennes, du R&B… Qui sont les artistes qui t’ont bercée, plus jeune ?

Les artistes que j’ai le plus écoutées sont clairement Beyoncé, Rihanna, Alicia Keys et Nicki Minaj ! J’ai vraiment grandi avec elles. Mais j’ai aussi été bercée par ce que ma famille écoutait. Des artistes comme Usher par exemple, que mon grand frère, qui a cinq ans de plus que moi, passait en boucle. Mon père est un grand fan de zouk, donc il y avait aussi beaucoup de Fanny J, de Kim, de Nesly… La Compagnie créole aussi ! Quant à ma mère, elle écoutait des morceaux de chez moi, du Cap-Vert. Donc c’était un mélange de tout ça – un mélange qui, peut-être, en effet, se ressent aujourd’hui dans ma musique.

Être sur le devant de la scène, chanter devant des gens, faire des interviews et des shootings comme on est en train de le faire aujourd’hui… Je n’aurais jamais pensé que ce serait fait pour moi.

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Cet album, tu en as quasiment écrit tous les morceaux. Comment décrirais-tu ton rapport à l’écriture ?

J’ai en effet écrit 15 chansons sur les 16 qui le composent, et… j’aime bien ça ! Je m’inspire souvent de choses que j’ai vécues (mais je ne dirai pas pour quelles chansons (rire)) ou qui ont été vécues par mon entourage. Je m’inspire toujours de choses réelles, disons, je ne m’aventure pas trop dans la fiction. Après, je fais partie des gens qui privilégient le flow plutôt que les mots. Je pense que c’est parce que j’ai grandi avec Beyoncé ou Rihanna : clairement, je ne comprenais rien à ce qu’elles disaient quand je les écoutais enfant (rire), mais leurs chansons avaient un tel flow que ça me faisait vibrer ! Et j’ai gardé ce même rapport à la musique en tant que chanteuse. Du coup, ce qui compte le plus pour moi, c’est la prod, la musique. Je ne me prends pas trop la tête sur l’écriture. Je préfère écrire comme je parle plutôt que d’aller utiliser des mots que je ne maîtrise pas. On m’a d’ailleurs déjà reproché que mes textes soient “trop légers”… Mais le but de ma musique, c’est que les gens comprennent ce que je dis, et qu’on kiffe ensemble ! La musique, c’est avant tout du partage. 

Comment réagis-tu face à ce genre de critiques ?

Au début, ces critiques m’ont beaucoup blessée, parce que… je me suis sentie bête ! Je me suis beaucoup remise en question. Mais après quelque temps, je me suis dit que c’était le jeu, et que même les personnes que j’admire le plus dans cette industrie, comme Rihanna, se font critiquer à longueur de journée. Donc j’ai essayé de me concentrer sur l’essentiel. Et pour moi, l’essentiel, c’est de faire de la musique qui parle aux gens.

Il y a un morceau qui a particulièrement parlé aux gens, c’est “Atterrissage”, qui cumule plus de 50 millions de vues sur YouTube. Qu’est-ce que ce morceau représente pour toi, avec le recul ?

À chaque fois que j’en parle, je dis que c’est ma pépite ! “Atterrissage”, c’est LE morceau qui a changé ma vie. Qui m’a fait passer de la jeune femme qui chante un peu dans sa salle de bains au statut d’artiste. Il a marqué un changement de vie radical. Et j’en suis très fière, parce que c’est un morceau que j’ai fait sans me prendre la tête : je suis allée au studio, j’étais dans une bonne vibe, j’ai posé des petites mélodies, je me suis mise à écrire… Et ça a pris. Les gens ont commencé à danser dessus sur TikTok, ça les mettait dans une super bonne ambiance… Et moi, c’est ça que je veux ! J’étais vraiment super contente de voir que ce morceau parlait autant aux gens. Super contente et en même temps assez surprise, évidemment.

Oui, ça a dû faire bizarre, d’autant qu’on était encore en plein cœur de la pandémie à ce moment-là !

Oui, il y avait encore le confinement, le masque… Tout ça est arrivé au milieu d’une année très bizarre. Résultat, je n’ai pas pu exploiter “en vrai” le succès de ce morceau, dans la mesure où je n’ai pas pu faire de concerts pour voir l’engouement qu’il y avait autour. Tout s’est passé sur les réseaux sociaux, sur TikTok plus précisément, avec le #AtterrissageChallenge. Le succès de ce morceau, c’est TikTok ! Donc quelque part, je dois dire merci à TikTok et au confinement.

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Comment as-tu vécu le fait de voir ta carrière exploser pendant la pandémie ?

J’étais super fière de moi, et en même temps, c’était très étrange. Après, quelque part, ça m’a laissé le temps de voir le truc monter, et donc de me préparer. J’ai eu le temps d’anticiper, de me dire : “Donc là, dans deux mois, je vais faire des showcases ; dans un mois, je vais commencer les interviews etc..” Finalement, ça m’a laissé le temps d’être prête.

Aujourd’hui, tu es suivie par plus de 360 000 personnes sur Instagram, et tu possèdes quelque 700 000 abonné.e.s sur TikTok. Comment gères-tu ta relation avec les réseaux sociaux ?

De base, je détestais les réseaux sociaux. Je n’étais pas active, je ne postais rien… J’avais les réseaux sociaux histoire d’être en vie ! Aujourd’hui, tout a changé, puisqu’ils font partie de mon travail et de mon développement, au même titre que les interviews ou les clips. Donc je les utilise comme un outil de travail. Ce n’était pas facile à gérer au début : le simple fait de devoir faire une vidéo pour parler à mon public, c’était très compliqué. (Rire.) Il m’est arrivé plusieurs fois de refaire une vidéo au moins dix fois, avant de finir par me dire : “Non mais en fait, je ne vais pas poster de vidéo, je vais écrire un texte.” (Rire.) Aujourd’hui, ça va beaucoup mieux. Je fais ce genre de contenu avec beaucoup plus de facilité et de spontanéité, j’y prends même du plaisir – même s’il m’arrive encore de refaire des vidéos plusieurs fois…

Après, je pense qu’il est important de savoir se déconnecter de temps en temps, parce qu’il n’y a pas forcément que des bonnes choses sur les réseaux sociaux, surtout quand tu es un personnage public. Il y a des gens qui se croient vraiment tout permis… C’est bien de savoir prendre du recul. Mais bon, je t’avoue que j’ai un peu de mal à appliquer ce que je suis en train te dire, parce que je fais malheureusement partie de ces gens qui suivent tout ce qui se passe sur les réseaux. (Rire.) Tu sais, ces gens qui ne postent rien, mais qui sont là à regarder. Je passe beaucoup de trop temps sur les réseaux sociaux, genre huit heures par jour. C’est chaud.

J’ai un projet à défendre.

Est-ce qu’il t’arrive de remonter ton fil Instagram et de constater ton évolution, de te voir grandir ?

Carrément ! Parfois, quand je regarde mon Insta et que je vois des photos de 2018, ça me choque. Parce qu’à cette époque-là, comme je te le disais tout à l’heure, je ne me voyais pas du tout devenir ce que je suis aujourd’hui. Je constate aussi cette évolution en faisant ce qu’on est en train de faire, c’est-à-dire des interviews. Il y a encore quelque temps, quand on me demandait de me présenter, je répondais de façon hyper simple, genre : “Ben je m’appelle Ronisia.” Quand on me demandait : “Et alors, comment tu te sens ?” Je répondais : “Bah je sais pas, je me sens bien.” (Rire.) Je ne t’aurais jamais raconté toute ma vie comme je suis en train de le faire ! Donc c’est assez fou de voir cette évolution. Et puis comme je te le disais, je prends aussi de plus en plus de plaisir à faire tout ça, parce que ça y est : j’ai un projet à défendre.

Revenons-en à ce projet : sur Ronisia, on retrouve Ninho, Tiakola et Eva. C’était important que ces artistes soient présent.e.s pour ton premier album ?

Encore une fois, il n’y a pas eu de plan. Je ne me suis pas dit : “Il faut absolument que j’aie des collabs sur mon premier album.” Ce sont tout simplement trois artistes que j’écoute beaucoup – les trois sont dans ma playlist ! – et avec lesquel.le.s je m’étais dit que ça pourrait coller, musicalement parlant. On se suivait sur les réseaux sociaux, donc je me suis dit que j’allais échanger avec eux pour voir si on s’entendait également sur le plan humain, parce que l’humain est tout aussi important, surtout pour créer quelque chose ensemble. Et que ce soit avec Ninho, Eva ou Tiakola, le courant est super bien passé ! Et clairement, tu ne peux que collaborer avec des gens qui te plaisent musicalement et humainement !

Avec qui rêverais-tu de collaborer ?

Sans hésiter : Summer Walker ou Kehlani. Une des deux. Elles sont trop fortes ! J’adore la façon dont Summer Walker pose : on dirait qu’elle est constamment fatiguée, mais elle pose tellement bien ! Quant à Kehlani, elle dégage un truc hyper nonchalant que j’adore… On dirait qu’elle s’en fout, mais non, elle assure. Et elle ravive aussi ce truc des chanteuses de R&B avec lesquelles j’ai grandi, qui chantent mais qui dansent aussi.

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La danse, c’est un truc que tu aimerais développer, dans tes clips ou sur scène ?

J’adorerais ! Malheureusement, mon corps est un peu bloqué ! (Rire.) J’ai l’impression de bien danser, mais quand je me regarde, je me dis qu’il faut vraiment que je me concentre sur le chant ! Mais je pense que si je m’y mets vraiment, en prenant des cours et en répétant à fond, je pourrais y arriver. Mais bon, il faudrait quand même que je sois entourée de danseurs.ses sur scène, ça passera mieux. (Rire.)

En parlant de scène : tu te produis ce 29 mars à la Cigale de Paris, avant de partir en tournée dans toute la France. J’imagine que tu as hâte ?

Tu veux que je te dise la vérité ?

Évidemment ! 

Ça me stresse tellement ! Quand on me parle de tournée… J’ai hâte hein, bien sûr, parce que c’est quand même un truc incroyable, d’autant que ma date à la Cigale est complète ! Mais je suis aussi vraiment très, très stressée, parce que c’est le premier concert que je m’apprête à donner en solo.

Tu as quand même eu un bon entraînement avec les premières parties de Burna Boy et de Dadju à l’Accor Arena.

Oui, c’est vrai, cette salle est impressionnante ! Ceci dit, elle n’était pas complètement remplie, vu que je jouais au début. Mais bon, c’est quand même très impressionnant… Et j’étais très stressée, comme d’habitude. (Rire.) Déjà parce que ce n’est pas n’importe quelle salle, et ensuite parce que ce n’était pas n’importe quels artistes ! J’avais envie de bien faire les choses pour eux. Mais finalement, ça s’est bien passé, j’ai pris du plaisir et je me suis amusée. Et c’est ce que je compte faire dans le cadre de ma tournée ! 

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ALLÔ RONISIA

Nos questions de fan à l’iconique Ronisia. 

@ronisia_fan1

Quel est le meilleur moment que tu as vécu depuis que tu es chanteuse ?

Le meilleur moment que j’ai vécu depuis que je suis chanteuse, c’est toutes les fois où je monte sur scène. J’adore aller à la rencontre de mon public, c’est toujours un plaisir pour moi.

Qui est la chanteuse/le chanteur qui t’inspire le plus ?

Les chanteuses qui m’ont le plus inspirée sont Rihanna et Beyoncé, elles ont toujours été des exemples pour moi par leur musique et leur carrière.

À quel âge as-tu commencé à avoir de la passion pour la musique ?

J’ai commencé à être passionnée de musique depuis mon plus jeune âge. Ma famille m’a baignée dedans depuis toute petite. Toutes les journées étaient accompagnées de musique chez moi, j’ai toujours aimé ça.

Si tu n’étais pas artiste, quel métier ferais-tu ?

Si je n’étais pas artiste, j’aurais été une actrice ! J’ai toujours voulu jouer dans un film d’action comme Colombiana ou Divergente !

@ronisia_cpv

Je voulais juste te dire que je t’aime beaucoup !

Merci, moi aussi je t’aime beaucoup !

@ronisia_fan

Est-ce que tu inviteras tes comptes fan à ta tournée ?

Bien sur, j’ai déjà invité des fans via des jeux-concours pour qu’on puisse se rencontrer. Y avait des tickets d’or dans ma box en précommande pour gagner des places pour mon concert à la Cigale et j’ai eu des fans qui ont pu assister à ma release party en gagnant des places aussi via ma box dans laquelle se trouvait mon album en précommande. La Cigale, c’est complet, mais je serais très heureuse de rencontrer mes fans lors de ma tournée. Il reste des places dans les autres villes en France et j’espère vous voir nombreux.ses ! Je prendrai le temps de dire bonjour et de leur parler et pourquoi pas les rencontrer lors de meet-up. Ce serait cool !

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Journaliste : Naomi Clément
Photographes : Alex Brunet & Olga Varova
Styliste : Joy Kitenge

Set Designer : Nicolas Plinio Lanteri
Maquilleuse : Justine Declerck

Coiffeuse : Sylvia Matias dos Santos
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