As-tu dû déconstruire des préjugés pour ce rôle ?
Je n’avais aucun préjugé, au contraire, j’avais tout à apprendre. Comme, je pense, tous.tes les acteur.rice.s qui étaient là. On avait tout à apprendre de ce métier. Ce projet m’a fait énormément grandir. J’ai vraiment appris ce que c’était d’être sage-femme. C’est beaucoup plus que juste faire accoucher. Être sage-femme, c’est avant, pendant et après. Tu mets ta vie entre parenthèses pour ce métier. C’est un truc où il y a un accompagnement de la femme tout au long de l’accouchement. Il y a un aspect hyper psychologique. Tu as 10 000 casquettes.
Quels sont tes prochains projets ?
Normalement, en mai, il y a la série 66-5 d’Anne Landois sur Canal+. C’est une série judiciaire sur une avocate qui a deux affaires dont celle de Rudy Mondésir, qui est le personnage que j’interprète et qui est à l’opposé de Léopold. Pour le coup, j’ai enchaîné avec un projet qui n’a vraiment rien à voir. Après, j’ai un autre projet mais c’est confidentiel.
Que peut-on te souhaiter pour la suite ?
Des bons projets ! (Rire.)
Et c’est quoi un bon projet pour toi ?
C’est un projet où l’on ne m’attend pas. J’appelle ça la “mental’ du breaker” : tu sais que tu n’es pas numéro 1, mais tu fais tout pour. Tu fais tout pour être numéro 1, tout pour choquer les gens, tout pour que les gens se disent : “Lui, c’est le cheval sur lequel on doit miser.”
Remerciements à AMI PARIS, BLUEMARBLE, CROCS, DIOR HOMME, ISABEL MARANT, LOEWE, MAISON MARGIELA, MARINE SERRE, RIMOWA, VALENTINO.