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Culture & Lifestyle

ALL LIGHTS ON MARCUS

Pour NYLON, Marcus se confie sur ses hauts et ses bas et raconte son histoire personnelle et ses ambitions pour la première fois. Enjoy !

Talent : Marcus (Marc Vivian Geromegnace)
Photographer : Matthieu Delbreuve
Stylist & Creative Director : Nicolas Dureau
Line Producer : Helen Amiri

On le connaît tous.tes : depuis quelques années déjà, Marc Vivian Geromegnace, plus connu sous le surnom de Marcus, créé du contenu fun et bienveillant sur Instagram dont on est complètement addict ! On l’a découvert grâce à ses frasques avec sa besta, Léna Mahfouf, mais aussi à travers ses vidéos perso qui nous causent des fous rires en permanence. Une chose est sûre : on ne peut plus se passer de son sourire contagieux qui illumine les journées les plus grises. Tout le monde l’aime et pourtant, peu de personnes le connaissent vraiment. Pour NYLON, Marcus se confie sur ses hauts et ses bas et raconte son histoire personnelle et ses ambitions pour la première fois. Enjoy !

Veste et short KARL LAGERFELD JEANS / Lunettes KARL LAGERFELD / Bandana LES INCONNUS / Ceinture OUEST PARIS / Chaussettes FALKE / Mocassins MANOLO BLAHNIK / Sac à main MEILOUMI

As-tu toujours voulu devenir créateur de contenu ? Quel était ton plan de carrière à la base ?

L’influence et le fait d’être influenceur, ça n’a jamais été mon but. Je laissais ça aux autres parce que je ne me sentais pas légitime de le faire. Par contre, j’ai toujours voulu travailler en maison de mode ou de luxe, au service communication & marketing. Imaginer des publicités et des campagnes, c’était ça mon but. J’ai donc fait mes études, j’ai eu mon bachelor, puis mon master. J’ai suivi un parcours académique mais j’ai toujours été animé par la pop culture et par ce que je voyais à la télé. Par exemple, un moment qui m’a marqué : quand j’étais petit, je regardais le 20h de Claire Chazal et je me souviens d’un reportage sur un défilé Chanel de l’époque de Karl Lagerfeld. À l’issue de ce reportage, j’ai dit directement à ma mère “Maman, je veux faire ça ! Je veux être dans ce milieu-là.” J’ai donc orienté ma carrière dans ce sens. Mon utilisation d’Instagram est également très axée “image”, mais que ce soit dans la vie ou sur les réseaux sociaux, je suis le même. Ce n’est pas un personnage que j’invente.

C’est pour ça que tu as réussi à construire une communauté de plus en plus solide : iels voient que tu es authentique.

Je pense que la clé pour tirer son épingle du jeu, c’est de rester soi-même. Le contenu que l’on fait avec Léna par exemple, ce n’est pas une mise en scène, c’est vraiment ce que l’on vit ; je partage mes émotions en direct. Personnellement, j’adore rire, me déguiser, danser dans la rue, que ce soit seul ou avec elle. La danse, c’est mon échappatoire, ça me permet de me défouler. Et d’ailleurs, c’est important de savoir lâcher prise et se montrer vulnérable, même sur les réseaux. Quand il y a un sujet qui me touche, je pleure et je montre que je pleure. Je pense que les gens, les followers – encore plus maintenant avec toutes les fausses narrations qui circulent au sein de l’industrie de l’influence –, ont besoin de cette honnêteté et de cette réalité-là.

Parlons justement de cette injonction à la perfection et à la performance que l’on retrouve beaucoup sur les réseaux sociaux et qui est souvent source d’anxiété. Comment te positionnes-tu vis-à-vis de cela ?

Il y a trois ans, je suis tombé gravement malade et je ne me reconnaissais plus. J’avais perdu 20 kilos. Je me regardais dans le miroir et je me disais que ce n’était plus moi. Quand je regardais ce qu’il se passait sur les réseaux, je me trouvais moche parce que l’algorithme ne me montrait que des personnes belles selon les standards de la société et en bonne santé. Je ne me reconnaissais dans personne et je me suis dit que si moi, je ressentais ça, des millions d’autres personnes le ressentaient aussi. Il est donc hors de question pour moi de montrer quelque chose de fake sur les réseaux sociaux, parce que j’aimerais aider les gens à s’accepter avant tout. Si je peux les faire sourire ou leur faire passer un bon moment, ma mission est accomplie. C’est has been de faker sa vie sur les réseaux sociaux, et de toute manière, ça se voit.

Tu dis que la danse est ton échappatoire. Est-ce que tu peux en dire plus sur cette passion ?

C’est simple : Beyoncé, c’est mon modèle. Franchement, je peux mourir sur scène avec elle. Quand j’ai vu le clip de “Crazy in Love” et cette femme avec une A-TTI-TUDE, je me suis dit : “Je veux être elle. Je veux faire comme elle.” À l’époque, il y avait la Star Academy à la télé et je voulais trop faire partie des danseurs de Kamel Ouali. Un jour, ma mère m’a vu danser dans le couloir et m’a dit : “Prends des cours de danse.” Je me suis donc inscrit et là, j’ai découvert le hip-hop. J’ai tout de suite adoré. Tout ce que j’imaginais avec la musique, je pouvais l’exprimer avec mon corps. Je me rappelle qu’à ce moment-là, mes parents étaient en plein divorce. J’étais très en colère, je ne le disais pas mais j’exprimais tout dans la danse. Dès que je terminais les cours, j’allais à la danse. Si je terminais à midi, j’étais à la danse de 12h à 20h. Cette année, j’aimerais reprendre la danse sur Paris et le montrer sur Instagram. Un jour, je faisais un gala de danse et j’ai rencontré Blandy, qui est ma chorégraphe maintenant, et on a tout de suite connecté. Elle a compris ce que j’aimais. Parce que j’ai commencé avec le hip-hop, je lui ai dit que moi, je voulais danser comme dans les clips. Je ne savais pas comment ça s’appelait. J’ai vu un de ses cours et j’ai été subjugué. Elle dansait exactement comme je voulais danser.

Comme Beyoncé, on peut désormais retrouver ton visage sur des covers et des billboards : tu as récemment fait ta première campagne à grande échelle. Comment ont réagi ta famille et tes ami.e.s ?

Je n’ai jamais fait cela dans le but d’être un modèle. Je n’ai donc pas cette prétention de représenter un type de personne, mais la première campagne que j’ai pu faire était de grande envergure, et cela m’a particulièrement touché. J’ai été contacté par une marque de skincare pour devenir leur nouvelle égérie. Cette campagne était pour une BB crème et c’était la première fois qu’iels revoyaient la formule pour les peaux noires. C’était un honneur pour moi de porter ce message, de montrer sa peau sans la cacher. Je me sentais valorisé parce que je travaillais à la fois en tant que modèle, influenceur et aussi “consultant”. Quand je repense aux affiches de campagne dans le métro à mon effigie, j’ai encore des frissons parce que c’était la folie ! Je suis même ému de parler de ça car j’en ai fait du chemin ! Le fait de se voir en gros à Saint-Lazare, c’était intense et je voulais absolument vivre ce moment avec ma maman et ma meilleure amie. J’avais gardé la surprise pour tout le monde parce que je voulais que ce soit un moment qui nous appartienne à nous en tant que famille. Je voulais vraiment m’en souvenir… Maman arrive donc à Saint-Lazare et au début, elle ne voit pas la grande affiche. Bon, j’avoue, je suis en mode déception… Puis, on prend le métro ensemble et là, je vois les yeux de ma mère. Elle n’a pas de mots et elle me dit : “Tu m’as fait une belle surprise, un beau cadeau.” Ça, je m’en souviendrai toute ma vie. J’ai vu dans ses yeux qu’elle était fière de ce que je fais. Après ça, il s’est passé quelque chose de très paradoxal, je me suis enfermé chez moi pendant une ou deux semaines. J’avais l’impression que ce n’était pas réel quand je voyais les stories de tout le monde sur Instagram et les messages de ma mère qui m’envoyait des photos tous les matins en prenant le métro, cela faisait beaucoup à digérer. Il y avait aussi les gens qui m’arrêtaient dans la rue car iels me reconnaissaient sur les affiches. J’ai reçu beaucoup d’amour d’un coup et c’est beau, mais on n’est pas conditionné.e à recevoir autant d’amour de personnes que l’on ne connaît pas.

T-shirt et jeans KARL LAGERFELD JEANS / Foulard LES INCONNUS / Ceinture OUEST PARIS / Mitaines à franges CAUSSE GANTIER / Bottines JEAN BAPTISTE RAUTUREAU

Ta mère est un modèle de vie pour toi. Est-ce qu’il y a d’autres femmes qui t’ont particulièrement inspiré ?

Viola Davis ! Une FEMME incroyable. Elle m’a beaucoup inspiré dans Murder. Il y a aussi Marcia Cross aka Bree Van de Kamp (dans la série Desperate Housewives, ndlr). Je connais moins l’actrice, mais je me reconnais beaucoup dans son personnage. Pas sur son côté psychorigide, mais plus sur sa folie. Elle est très extrême dans ses émotions, je me retrouve un peu là-dedans. Pour citer une dernière personne, Angelina Jolie. Sa carrière, sa vie et son amour pour les enfants, ça me touche particulièrement. Ce sont les femmes de ma vie – avec ma maman qui est la number one. Mais l’autre femme de ma vie, la plus chère à mon cœur après ma mère, c’est Léna. Au-delà d’être admiratif de tout ce qu’elle entreprend, j’apprends beaucoup grâce à elle. J’apprends quotidiennement sur la vie, sur comment appréhender les choses, prendre du recul, sur le fait de rester soi-même… Parce que dans ces métiers qui touchent à l’influence, tu peux très vite te perdre par rapport à ce que les autres pensent de toi. Pour avoir suivi son évolution, je suis plus qu’admiratif et fier de ce qu’elle entreprend. Ce que je trouve cool, c’est qu’elle n’a pas changé d’un iota. Elle a juste encore mûri. J’observe beaucoup ce qu’elle fait et je le fais à ma façon. Elle m’a toujours dit : “Je sais qui tu es, je sais ce que tu représentes, aies confiance en toi.” Parce que oui, on me voit sur les réseaux rempli d’ambition à sourire, mais je suis un être humain et parfois, j’ai des doutes, des vulnérabilités. Je me questionne sur qui je suis, sur ma place dans la société, et Léna me remet toujours les idées en place.

C’est grâce à ton sourire que tu crées une relation forte avec ta communauté !

Ma façon de communiquer avec les gens, c’est vraiment de leur donner des good vibes only. Si tu vois la vie avec le sourire, il peut t’arriver des trucs affreux – même moi, en ce moment dans ma life, il m’arrive des trucs affreux et c’est éprouvant – mais je pense qu’il faut relativiser. C’est pas facile mais j’ai toujours vu ma maman relativiser. Je me rappelle, quand j’étais petit, on était dans des situations compliquées, je me disais qu’on n’allait pas réussir à s’en sortir et ma maman faisait toujours en sorte de ne pas me montrer le chaos qu’il y avait autour de moi. Elle me facilitait la vie ; tout était simple. Tous les jours, tu as quelqu’un dans ton entourage ou dans le monde qui perd un proche, quelqu’un qui tombe malade ou qui a un accident… Les aléas de la vie. Il faut garder le sourire malgré tout car nous sommes tous.tes capables d’avoir cette parenthèse de bonheur si on la veut vraiment.

Est-ce que tu as des exemples de beaux moments que tu as pu vivre avec ta communauté ?

Il y en a eu plein. Une fois, je me baladais [au centre commercial] Vallée Village, et il y a une dame qui est venue me voir avec sa fille et qui m’a dit : “Ah, c’est vous Marc ! Merci pour ce que vous faites pour ma fille, à chaque fois qu’elle vous voit, elle retrouve le sourire. Votre bonne humeur fait plaisir dans le foyer.” Ça m’a marqué parce que c’était la première fois qu’on me faisait ce genre de compliment.

Veste et short KARL LAGERFELD JEANS / Lunettes KARL LAGERFELD / Bandana LES INCONNUS / Ceinture OUEST PARIS / Chaussettes FALKE / Mocassins MANOLO BLAHNIK / Sac à main MEILOUMI

Comment vis-tu cet intérêt au quotidien, maintenant que tu es une personnalité publique ?

Tous les jours, je me dis que j’ai beaucoup de chance. Je le vis très bien mais il y a toujours une partie de moi qui ne comprend pas, qui se dit “pourquoi moi ?”. Parce que je suis un être humain comme les autres et que je fais simplement le clown sur Instagram. Je ne sauve pas des vies.

Cette cover, on l’a faite en collaboration avec Karl Lagerfeld Jeans. Karl était connu pour son franc-parler, dans le sens où il était totalement intègre vis-à-vis de lui-même et il n’avait pas peur d’exprimer pleinement son opinion. Qu’est-ce qu’il t’inspire ?

Quand on pense mode, obviously, on pense à Karl Lagerfeld, ce génie créatif. Comme tous les génies, il était un peu perché. Moi, il m’impressionnait car il avait beaucoup de prestance. Je n’ai pas eu la chance de le rencontrer de son vivant, mais il avait l’air à la fois tellement intimidant et tellement humble et sensible. Ce que j’admire particulièrement chez lui, c’est le fait que c’était un vrai bosseur ! J’ai vu dans un documentaire qu’il passait des centaines d’heures rien qu’à se cultiver. Il avait besoin de se nourrir intellectuellement parlant. Ça rejoint ce que je disais, j’ai besoin d’être stimulé constamment par ce que j’entends, par ce que je vois, par ce que je lis. Karl Lagerfeld m’a inspiré ce sens de la rigueur et le fait de se battre pour ce que l’on veut. Parce que Monsieur Lagerfeld, il n’était pas destiné à bâtir l’empire qu’il a bâti. Il s’est battu pour en arriver là.

En termes d’engagement, est-ce qu’il y a des choses qui t’ont particulièrement touché récemment et pour lesquelles tu souhaites te battre ?

Typiquement, ce que l’on vit en ce moment avec la réforme des retraites qui met toute la France dans la rue ! Mais aussi le racisme et les violences faites aux femmes, ce sont des choses qui me révoltent. Et même nous, les personnes LGBTQIA+, il nous arrive toujours les mêmes misères, malgré les avancées au sein de la communauté. La sérophobie par exemple, cela me met hors de moi parce que je ne comprends pas comment, en 2023, on peut encore autant manquer de tolérance et de respect. Ça me fait tellement de peine parce que juste la phrase “OK, je ne partage peut-être pas le même avis que toi mais je le respecte” sans jugement ferait tellement la différence et apaiserait les esprits.

T-shirt et jeans KARL LAGERFELD JEANS / Lunettes BALENCIAGA / Mitaines à franges CAUSSE GANTIER

Quels sont les rêves, petits ou grands, que tu souhaites réaliser à l’avenir ?

Même si je me sens aujourd’hui plus légitime dans ce que je fais, je ne me vois pas rester influenceur toute ma vie – c’est un tremplin pour créer autre chose. Ce que j’adore faire, c’est la production de vidéos. J’adore également conseiller des marques ou leur donner des inputs sur des stratégies d’influence. J’ai toujours ce besoin de créer pour moi et pour les autres. Côté vie privée, plus tard, j’aimerais avoir plein d’enfants, quatre exactement. J’ai passé mon BAFA et j’ai été animateur parce que j’ai toujours voulu m’occuper et prendre soin des enfants. Ayant eu une enfance mouvementée, je suis certain qu’il y a plein d’enfants qui ont besoin d’un cadre pour s’échapper, qui ont besoin de souffler pour s’épanouir. J’aimerais créer une association pour aider les enfants qui vivent dans la précarité à trouver leur voie grâce à des pratiques créatives. Les enfants, ce sont les adultes de demain. S’iels n’ont que peu ou pas de bonnes valeurs, si on les laisse dans l’ignorance, ils feront n’importe quoi plus tard et nuiront à notre société. Je pense que c’est dès le plus jeune âge qu’il faut les orienter de la bonne façon. Typiquement, au collège, quand tu as des cours de SVT, on ne te parle pas du sida. Quand on te parle de comment faire un enfant ou comment se protéger lors de rapports sexuels, on ne te parle que des rapports homme-femme. Ça s’arrête là. Je parle de plein de choses en même temps, mais je pense que ça se rejoint, car tout part de l’enfance, de l’adolescence et de l’éducation que l’on reçoit. Tout part de là et c’est ce qui fait l’adulte que tu deviendras demain – donc il faut en prendre soin.

Last but not least, quel est ton signe astrologique ? Une info de haute importance pour aider notre lectorat à te comprendre !

Sagittaire. Tu peux donc me voir pleurer devant un film parce que j’ai de l’empathie pour la petite fille qui a perdu son doudou. Pour des choses plus sérieuses, je suis également très empathique. Je suis très sensible. Je peux être très attendri tout comme très en colère. Aussi, je déteste l’injustice, ça me rend fou. Les émotions, je les vis à 2 000 %.

Un petit conseil pour la fin ? Un message à faire passer à ta communauté et celleux qui te découvrent ?

Ne faites les choses pour la fame, faites-les avec et pour le cœur. Je pars du principe que ta meilleure bonne fée, c’est toi-même ; et ton pire ennemi, c’est toi-même aussi. Le message que j’aimerais faire passer, c’est qu’il faut être indulgent avec soi-même et surtout ne jamais abandonner ses rêves. Moi, je n’ai jamais abandonné, et Dieu sait que parfois, c’était dur. J’ai eu envie d’abandonner parce que je ne voyais pas le bout du tunnel. Je me disais : “Mais quand viendra mon tour ?” Tu as le droit de tomber, tu finiras toujours par te relever. Je viens d’un milieu plus que modeste, dans le fond du 77, et là, je me retrouve à faire la couverture de NYLON. Tout est possible ! Il ne faut pas forcément faire les bonnes rencontres même si, oui, ça peut aider. Si tu es gentil.le, bienveillant.e, pas méchant.e, il ne t’arrivera que des bonnes choses. Karma is karma. Tu sèmes ce que tu récoltes.

And now it’s your time to shine bright like a diamond !

Oui, et ce n’est que le début ! (Rire.) Je veux faire des choses encore plus grandes, encore plus folles. Si moi, j’ai réussi, tout le monde en est capable. Certains vont rétorquer “Oui mais toi, tu es bien entouré”. Quand j’ai commencé à créer du contenu, je travaillais 7/7 en parallèle de mes études pour les financer, et je n’étais entouré et financé par personne. Le travail est à la portée de tout le monde. Cherche un job, envoie des CV, fais des lettres de motivation, ne reste pas chez toi à attendre que les choses se fassent pour toi. Sois dans l’action. Mais sois intelligent.e, n’accepte pas n’importe quoi. Il faut être intègre vis-à-vis de toi-même, authentique. C’est vraiment le message que je veux faire passer.

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L’offre est valable jusqu’au mercredi 26 avril. Enjoy !

Hoodie et short en jean KARL LAGERFELD JEANS / Collier VANN / Chaussettes FALKE / Derbies HESCHUNG

Talent : Marcus (Marc Vivian Geromegnace)

Photographer : Matthieu Delbreuve

Stylist & Creative Director : Nicolas Dureau

Journalist & Editor in Chief : Elisabeta Tudor

Video Editors: Bérangère Portella, Dorian Poncet & Anne-Cécile Pain

Hair Artist : Maëva Gome

Make Up Artist : Justine Declerck

Set Designers : Nico Plinio & Clara de Gobert de Scilly

Photographer’s assistant : Kevin Ramos

Stylist’s assistant : Théo Saussard

Set Designers’ assistants : Camille Marques & Clara Dulibine & TBC

Executive Producer : Anath Socroun

Line Producer : Helen Amiri

Production Coordinator : Malo Le Mer

Set Manager : Antoine Wibaux
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