It’s giving spirituality
Elisabeta, Editor-in-Chief
2023 marque pour moi la nécessité de se confronter à la réalité dans laquelle nous baignons déjà : 2022 a enregistré des records de chaleur, la température mondiale a pris 1,1 °C de plus en dix ans, la hausse du niveau des océans s’établit désormais à plus de 10 centimètres, les émissions mondiales de CO2 fossile ont augmenté de 68 % ces deux dernières décennies – et nous sommes désormais 8 milliards d’êtres humains sur Terre. Depressing much ? Bref, it’s giving anxiety et ça ne va pas aller en s’améliorant, ni cette année, ni les prochaines si nous ne changeons pas tous.tes radicalement nos mauvaises habitudes. Si j’ai bien une résolution à respecter pour 2023, c’est celle de m’appliquer à faire de mon mieux pour l’environnement en consommant moins, mieux et plus local – et en étant ready à sensibiliser celleux qui se foutent éperdument de Mother Earth. Petite pensée pour le masculiniste & self-proclaimed pollueur Andrew Tate, s’il (ou ses fans) nous lit depuis sa cellule dans la capitale de mon pays natal ; la légende urbaine raconte que cette incarcération est signée par the one and only Greta Thunberg et cachetée par le karma. Comme le dit si bien Greta dans son dernier shade à l’égard d’Andrew Tate sur Twitter : “This is what happens when you don’t recycle your pizza boxes.” En parlant de karma, pour moi, 2023 marque aussi la nécessité de cultiver mon éveil spirituel, ce qui, à mon avis, va main dans la main avec le respect de l’environnement et les bonnes pratiques anti-égomaniaques de bien-être, d’empathie et d’altruisme. 2023 sera donc l’année qui marque le début de ma quête d’éveil spirituel qui, of course, ne pourra pas porter ses fruits au bout d’un an, mais qui sera certainement une quête et évolution à vie. Le tout sans pression, ni philosophie à la Eat Pray Love, ni power yoga d’ailleurs. That’s all.