Il y avait du monde, du son, et surtout du style. Cette année encore, Primavera Sound Barcelone a prouvé qu’il n’était pas un simple festival mais bien le rendez-vous culturel où se croisent les playlists du futur, les icônes de demain et les marques qui captent vraiment l’instant. Parmi elles ? Pull&Bear, qui a signé l’une des activations les plus cool de cette édition 2025, avec son Primavera Sound Café by Pull&Bear. Un espace hybride, sensoriel, doux comme un latte et fort comme un drop de Charli xcx.

Mais avant de vous parler café glacé et vinyle, parlons de ce qui a fait battre notre cœur tout le week-end : le line-up. Il y avait un air de Powerpuff Girls version Pop 2025 dans l’air chaud catalan : Charli xcx, qui signait là l’unique date européenne de son SWEAT TOUR aux côtés de l’icône, Troye Sivan. Chappell Roan, en sirène de feu, a retourné l’assemblée avec ses refrains queer-pink-power. Et bien sûr, la pop darling Sabrina Carpenter, qui a repensé toute sa tournée juste pour cette date et nous a interprété pour la première fois “Manchild”, rien que ça. Autant vous dire qu’il fallait presque une accréditation émotionnelle pour gérer ce tsunami de performances !

Au milieu de tout ça, Pull&Bear n’a pas juste servi du café. Ils ont proposé une vraie bulle artistique, un spot pour respirer, se retrouver et afficher son meilleur look festival. Le Primavera Sound Café by Pull&Bear, en partenariat avec Nomad Coffee, proposait un chai latte entre deux sets, ou un espresso glacé pendant une montée de beat. Et pendant que vous sirotiez tout ça, des sessions vinyles exclusives transformaient le lieu en dancefloor feutré : Not Just a DJ – Vinyl Edition, avec des sets de Greta, Malena, Brieela, ou encore Pachanga DJs.

Mais l’autre moment fort, c’était bien sûr le style. Pull&Bear a capté l’ADN du streetwear européen, en réunissant ses communautés autour d’un vestiaire cool mais réfléchi, doux mais pointu. La collab’ spéciale avec Primavera Soundproposait des pièces illustrées par les artistes de Tot Per Res, dans un langage visuel entre club, fanzine et moodboard de designer. On aurait dit les archives d’un Tumblr qui aurait bien vieilli. Les pièces s’affichaient sur place, portées par une foule que l’algorithme aurait aimé habiller lui-même : Yuulieta, Bruna Bear, Clarice Cazauran, Davidson, et tant d’autres visages familiers pour ceux qui scrollent plus vite qu’ils ne clignent des yeux.

 

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Ce café n’était pas juste une pause entre deux lives. C’était un manifeste : celui d’une marque qui comprend la jeunesse dans toute sa multiplicité – celle qui écoute des bangers queer en buvant du café filtré, qui mixe le vinyle et le digital, qui se fiche des étiquettes tant qu’on lui laisse l’espace d’exister. Une marque qui ne se contente pas de vendre des fringues, mais qui raconte un lifestyle : spontané, connecté, joyeux.

En somme, Pull&Bear n’a pas juste participé à Primavera, ils ont façonné un coin de festival à leur image – un espace doux, frais, où la culture prend le temps d’exister. Et quand le soleil a commencé à tomber derrière les scènes, que les verres se vidaient, que la voix de Sabrina flottait encore dans l’air, tout ce qu’on voulait, c’était que ce café ne ferme jamais.

Et ça, c’est un souvenir qu’on ne mettra jamais en mode avion.