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Smells Like Sin’s Spirit

Aholic revient avec une collection qui brouille les limites entre parfum et confession intime. Sept créateur·ices se prêtent au jeu et réinventent chacun un péché capital comme une extension de leur identité. Une exploration sensuelle et moderne où le parfum devient langage, et le désir, un terrain d’expression assumé.

@aholicfragrances

Aholic transforme les interdits en désirs assumés. Pour célébrer sa nouvelle collection, nous avons invité sept créateur·ices à se dévoiler, version 2025. Chacun·e incarne un parfum, chacun·e réinvente un péché capital. De la sensualité brûlante de Carnal Heat à la gourmandise irrésistible d’Eat Me Up, découvrez leurs vérités désormais à ciel ouvert. Bienvenue dans l’univers Aholic, là où les interdits deviennent des addictions et où la culpabilité cède sa place au plaisir pur.

SOMOUAH — Love Dopamine

Ton shoot de dopamine instantané ?
Une chanson de Bad Bunny et c’est parti pour un marathon. Tout se rallume d’un coup : l’énergie, le sourire, le feu dans les jambes.

Tu crois au coup de foudre ?
Totalement. Et pas seulement en amour. Je peux avoir un coup de foudre pour une amitié, un parfum, un accessoire, une ambiance. C’est ce moment suspendu où tout s’aligne et où tu sais que c’est ça.

Quand tu es amoureuse, tu es feu d’artifice ou douceur continue ?
Feu d’artifice, sans hésitation. J’aime quand ça explose, quand c’est vivant, quand ça brûle légèrement. J’ai besoin de ressentir intensément pour me sentir vivante.

Ce parfum parle d’addiction, quelle est la tienne, la plus douce ?
Le sport. Le running surtout. C’est mon moment sacré, ma bulle. Je cours pour vider mon esprit avant de recommencer à remplir mes journées. Sans ça, il me manque un morceau de sérénité.

La tenue qui dégage ta « love energy » ?
Un bel ensemble, une paire de talons et un bon parfum. Le trio parfait pour se plaire à soi-même avant de plaire aux autres.

JOHAN — Carnal Heat

Ton red flag préféré ?
Ma froideur apparente avec les gens. Ça filtre les énergies toxiques et force ceux qui m’intéressent vraiment à creuser davantage. Résultat : je ne construis que des relations authentiques.

Te sentir irrésistible ?
Un teint frais et lumineux, sublimé par mon propre maquillage. Une belle peau, c’est l’essentiel. Côté style, je reste très casual : jean large, énergie bad boy années 2000. C’est là que je me sens le mieux dans ma peau.

Plutôt calme ou explosion ?
Explosion instantanée. Je réagis toujours à chaud, que ce soit en amitié ou en amour. Très direct, très spontané. Mais pour mes projets créatifs, c’est l’inverse : j’analyse, je pose, je réfléchis.

Ta couleur signature ?
Orange, à 200 %. C’est dans mon drapeau d’origine. Depuis l’enfance, j’en porte toujours une touche. Il y a quelque chose d’infiniment réconfortant dans cette teinte, à la fois chaleureuse et audacieuse.

Qu’est-ce que tu aimes que ton odeur provoque ?
De la nostalgie. Les parfums sont indissociables des souvenirs, comme la musique.

Carnal Heat, qu’est-ce que ça t’évoque ?
La sensualité pure. Je suis Scorpion, donc profondément charnel. Mais ce côté sensuel, c’est avant tout pour moi-même, dans ma gestuelle, mon attitude. Pas nécessairement tourné vers l’autre.

Tes moments sensuels ?
Quand je danse seul. Pas besoin d’interactions, pas besoin de parler. Juste moi, dans ma bulle. Surtout sur un dancefloor.

EDWARD — Narcotic Euphoria

Tes rituels avant de dormir ?
Skincare en trois étapes : brume, sérum, crème hydratante. Je me couche tôt, 23h maximum, toujours avec le même fond sonore de pluie sur Spotify.

L’addiction sentimentale, tu y crois ?
Absolument. Quand tu as aimé quelqu’un, partagé tant de moments, cette personne reste gravée longtemps. Il faut autant de temps pour oublier que pour aimer.

Un moment d’euphorie inoubliable ?
Festival Primavera à Barcelone. Tous mes amis réunis, on attendait Charli XCX depuis des années. Quand elle est apparue sur scène, on s’est tous enlacés. Indélébile.

Ton humeur en un parfum ?
La vanille. Quelque chose de sucré, de joyeux. La vanille, c’est pétillant, c’est frais. C’est moi.

Une chanson sensuelle en ce moment ?
Un morceau de The Weeknd. Je l’écoutais même avant de venir ici.

MAI LEE — Blowing Away

Tu aimes qu’on te remarque ou qu’on te devine ?
Qu’on me devine. Je suis Scorpion, j’adore le mystère.

Légère ou insaisissable ?
Insaisissable, clairement. Mais paradoxalement, pas légère du tout. Il faut vraiment discuter en profondeur avec moi pour saisir qui je suis réellement.

Solitaire ?
Pas solitaire, plutôt indépendante. Mais j’aime être bien entourée.

Tu glisses ou tu absorbes ?
J’absorbe énormément les énergies. Si tout le monde est joyeux, je le deviens aussi. Et inversement. C’est pour ça que je mets des limites : si quelqu’un va mal trop longtemps, j’ai du mal à rester présente.

Ton parfum en un son ?
Un murmure. J’aime quand c’est doux mais que ça dit quelque chose. Un souffle ne parle pas, une explosion fait trop de bruit.

« Partir en fumée », ça t’évoque quoi ?
C’est quand je suis en tempête émotionnelle. Scorpion oblige : tout ou rien. Soit je suis d’un calme olympien, soit je m’enflamme complètement. Jamais entre les deux.

Blowing Away, qu’est-ce que ça représente pour toi ?
Prendre de la place tout en restant léger. Occuper l’espace d’une pièce avec une certaine volupté, sans jamais peser.

ISAAK — Forbidden Fuel

Ton boost instantané ?
La musique au réveil. Pendant des semaines, je boucle le même morceau. C’était « Relax, Take It Easy » de MIKA, actuellement c’est autre chose, mais ça suffit à me faire danser.

Ta matinée idéale ?
Un réveil instantanément heureux. J’adore ce moment. Ma motivation : descendre chercher un café à pied, m’autoriser une première cigarette, puis passer au Carreau du Temple voir Miss Banh Mi. Elle me nourrit, c’est parfait.

Faut-il tout s’autoriser ?
Dans la limite du raisonnable, oui. Tant que c’est un désir authentique, viscéral, qui te brûle de l’intérieur.

Ton parfum de séduction ?
Celui que je porte quand je ne sais pas encore qui je vais séduire, mais que j’en ai terriblement envie.

Ton type d’énergie ?
Donner à fond. Parler avec les gens, les faire rire, rayonner.

Quelque chose d’interdit que tu aimes par-dessus tout ?
Manger au restaurant tous les midis. Quand j’ai commencé à vivre seul, je ne mangeais qu’une fois par jour. J’ai appelé ma mère, culpabilisé. Elle m’a répondu : « Mais mange, tu peux le faire, fais-le. » Et là, déclic : j’ai le droit.

Ton péché capital ?
L’envie. L’envie d’avoir envie, c’est vital. Je pense qu’il ne faut jamais se contenter de ce qu’on a. Être conscient, oui, mais pas résigné.

ISIA — Eat Me Up

Si tu étais un plat ?
Des pâtes alle vongole. Je suis italienne, j’en prépare constamment avec mes grands-mères. J’y associe les vacances, un parfum de mer. À Paris, je vais aux Enfants Rouges. Le chef connaît ma commande par cœur et me fait toujours du rab.

Goûter ou être goûtée ?
Être goûtée.

Ton plaisir coupable ?
Les soirées marathon de plus de 24 heures. Je ne sors pas souvent, mais quand je sors, ça doit en valoir la peine. J’aime les nuits qui s’étirent jusqu’au lendemain, déambuler au lever du soleil, puis continuer en riant de la veille jusqu’au soir suivant. J’ai l’impression de déconnecter pendant des heures.

Ta soirée idéale ?

On commence par un verre avec les amis assez tôt, sans plan précis. On trouve une soirée techno. Puis on flâne. C’est l’été. Au petit matin, il fait beau. Lever de soleil, café, et toutes les discussions de la nuit qui se prolongent. J’adore.

Ton indispensable food ?
Des pâtes, toujours des pâtes. Je ne mange pas de sucre, que du salé. Et des pâtes à volonté.

Si tu étais un dessert ?
Un baba au rhum.

Tu partages ou tu gardes pour toi ?
Je partage, évidemment. Avec mes amis, ma famille, je partage tout.

Tu aimes cuisiner ?
J’aime cuisiner, mais j’aime surtout manger. Je préfère qu’on cuisine pour moi. Mon copain prépare des plats algériens incroyables. C’est gourmand, méditerranéen, ça sent le Sud. Ça me va parfaitement.

OGEE — Lost in Lust

Désir et amour, tu les distingues comment ?

L’amour peut exister sans désir, mais le désir n’existe pas sans amour. Désirer quelqu’un, c’est un amour amplifié. À l’inverse, on peut aimer de façon très platonique.

Séduire ou être séduite ?
Les deux simultanément, mais j’adore séduire. Surtout quand mon aura rayonne. Je n’ai aucune appréhension à aborder quelqu’un et à entrer dans le jeu.

Tu séduis comment ?
Avec mes yeux. Je fixe longuement. Quand tu regardes intensément quelqu’un que tu ne connais pas, ça surprend, ça déstabilise.

Ton regard en parfum ?
Cuir, tabac froid et feu de cheminée.

T’es-tu déjà perdue dans un instant que tu refusais de voir finir ?
J’ai recroisé mon ex à New York par hasard, après notre rupture. On savait qu’une réconciliation était impossible. On a passé quelques jours ensemble, suspendus hors du temps, sans vouloir que ça cesse. Mais c’était trop destructeur. Je suis montée dans mon taxi direction l’aéroport, on ne s’est jamais revus. Aussi magique que déchirant.

Ton outfit le plus puissant ?
Quand je montre ma peau. En général, je joue soit sur le haut, soit sur le bas, mais il manque toujours un vêtement quelque part.

Lost in Lust, c’est quoi pour toi ?
La passion, le charnel, l’introspection de ce que tu ressens par amour. Te regarder dans le miroir et réaliser qu’il se passe quelque chose de viscéral.

Ta plus grande folie par amour ?
J’ai failli accepter de faire un enfant avec mon ex. J’étais prête à tout : me poser, me marier, devenir mère très jeune. Mais je ne l’ai pas fait. Et je ne regrette absolument rien. (rires)

Pour prolonger l’expérience et découvrir chaque parfum dans son intégralité, retrouvez les créations Aholic directement sur leur site : https://aholic-fragrances.com/

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