Mon Compte Shop
Beauté

Pourquoi le self-care est la priorité pour ma santé mentale en 2024

If you know, you know: les soins de beauté et le bien-être holistique ne sont pas des frivolités, mais des piliers essentiels de la santé mentale. Dans cet article, je te dis pourquoi les soins — et non plus les cosmétiques — demeurent ma priorité absolue pour maintenir mon équilibre mental en 2024.

De la philosophie antique aux marques contemporaines axées sur le bien-être, l’importance des soins transcende les époques. Alors que les mouvements de beauté holistique continuent de célébrer la recherche de la beauté intérieure autant que de l’extérieure, il est crucial de reconnaître le lien intrinsèque entre la beauté et la santé mentale. 

Je ne perçois plus les rituels de soins de la peau comme une corvée superficielle, mais comme des moments précieux pour nourrir mon esprit et apaiser mon âme.

L’idée que la beauté extérieure reflète la beauté intérieure remonte à l’Antiquité grecque. Selon Platon et Aristote, la beauté est une expression de l’ordre et de l’harmonie de l’âme. Pour eux, l’équilibre entre le corps et l’esprit était essentiel pour atteindre l’eudaimonia, un état de bonheur et de bien-être. Ainsi, la pratique de la beauté était bien plus qu’une simple préoccupation esthétique, c’était un pilier fondamental de la santé mentale. Les cultures orientales embrassent depuis toujours cette idée, avec des traditions telles que le yoga et l’ayurveda qui prônent l’harmonie entre le corps, l’esprit et l’âme. Ces pratiques millénaires soulignent l’importance de la méditation, de la respiration consciente et de l’équilibre énergétique pour atteindre un état de bien-être holistique. Au fil des siècles, la société a évolué, mais l’importance de la beauté et du bien-être holistique n’a pas faibli. En parcourant les méandres de l’histoire, de la philosophie et de la société contemporaine, il devient clair que la quête de la beauté et du bien-être holistique a toujours été intrinsèquement liée à la santé mentale. C’est un voyage introspectif dont j’ai moi-même fait l’expérience, découvrant comment ces pratiques transcendent le superficiel pour nourrir l’âme et l’esprit. Ma propre pratique de la beauté holistique est devenue bien plus qu’une simple routine quotidienne. C’est devenu un rituel sacré, une pause dans le tumulte de la vie de tous les jours pour me reconnecter avec moi-même. Je ne perçois plus les rituels de soins de la peau comme une corvée superficielle, mais comme des moments précieux pour nourrir mon esprit et apaiser mon âme.

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par Rudolph Care (@rudolphcare)

Récemment, j’ai découvert Rudolph Care, une marque de soins qui allie soin personnel et responsabilité environnementale et que j’utilise désormais pour mes rituels de soins au quotidien. La sélection minutieuse des ingrédients et l’accent mis sur la différence que chaque produit peut faire m’ont convaincu. Lors de l’application, j’ai apprécié la sensation délicate sur ma peau, avec des formules qui fondent tout en étant esthétiquement agréables. Cependant, Rudolph Care ne se limite pas à prendre soin de la peau ; la marque de soin assume également la responsabilité envers la planète — ce qui pour moi est devenu un élément essentiel au choix de mes produits beauté. Leur ingrédient signature, la baie d’açaï, est récolté de manière durable en Amazonie, contribuant à réduire la déforestation. De plus, le modus operandi de la marque repose sur des certifications, garantissant le respect de la santé et de l’environnement à chaque étape, de la culture et de la transformation des ingrédients à la production, à la biodégradabilité et au recyclage des emballages. Pour celles et ceux friand.e.s de produits beauté aux labels engagés comme moi, Rudolph Care sont certifiés par le Nordic Swan Ecolabel, Ecocert COSMOS Organic, Vegan Trademark, AllergyCertified, Asthma Allergy Nordic, GOTS et B Corp — rien que ça ! Pour garantir la transparence de ses actions, la marque publie également un rapport annuel sur la durabilité pour partager leur parcours vers un monde plus respectueux de l’environnement, démontrant leur conscience de chaque étape entreprise en direction de cet objectif. 

Dans la même veine de soin aussi efficace que responsable, Johana Moreno Kuratomi, la créatrice de la marque de soins ITABÜ met en avant des rituels d’inspirations ancestrales, japonaise et colombienne, fidèles à ses origines. Les formules de soin ITABÜ explorent notamment le potentiel des cannabinoïdes, en particulier du CBD non psychotrope, reconnu pour ses propriétés anti-inflammatoires, anxiolytiques et neuroprotectrices. Ces rituels de beauté intérieur et extérieur — toutes les huiles peuvent autant être appliquées sur la peau que dégustées dans une boisson — s’accompagnent de podcasts de méditation, suggérant une pause quotidienne de cinq minutes pour favoriser le bien-être mental et physique. Un concept simple et efficace qui vise à répondre aux attentes d’une clientèle en quête d’une expérience de beauté plus holistique. 

Mais aujourd’hui, dans la frénésie de notre ère du post-Internet et de la post-célébrité, ces cinq précieuses minutes sont parfois difficiles à trouver. Et pourtant : la quête de la beauté la plus holistique possible est plus présente que jamais sur les réseaux — une présence parfois anxiogène, tellement le self-care se voit exprimé comme une injonction à la performance. Instagram et TikTok sont en effet saturés d’influenceurs.ses partageant leurs routines de bien-être, de méditation et de soins de la peau. Des célébrités telles que Gwyneth Paltrow ont élevé le concept de wellness à de nouveaux sommets avec des marques axées sur le bien-être holistique. La pop culture elle-même reflète cette fascination croissante pour la beauté intérieure. Des films comme le fameux « Eat Pray Love » et des émissions telles que « Queer Eye » mettent en lumière la transformation intérieure qui accompagne souvent la transformation extérieure. Ces récits inspirent des millions de personnes à explorer la beauté et le wellness holistique comme des moyens de cultiver une santé mentale florissante. Oui mais : qu’en est-il de l’aspect authentique du soin, celui profondément dénué de l’injonction à la performance ; cette injonction si souvent anxiogène qui nous pousse à être “the best version of ourselves”, qui n’est que — soyons honnêtes — une quête toxique de la perfection ? 

 

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par ITABÜ (@itabu_care)

Qu’en est-il de l’aspect authentique du soin, celui profondément dénué de l’injonction à la performance ? Cette injonction si souvent anxiogène qui nous pousse à être “the best version of ourselves”, qui n’est que — soyons honnêtes — une quête toxique de la perfection ?

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par Oh My Cream ! (@ohmycream)

Heureusement que des personnalités influentes telles que Jameela Jamil et Lizzo viennent rectifier le tir : engagées dans des mouvements tels que « I Weigh » et la promotion de la diversité corporelle, elles ont contribué à non seulement démocratiser le self-care, mais créer un discours réellement anti-performance autour de celui-ci. Elles utilisent leurs plateformes pour défier les normes esthétiques restrictives et encourager la body positivity, sans pour autant la rendre dépendante d’une injonction à performer ou à consommer. Et l’engagement socio-politique autour du self-care va encore plus loin : des militantes comme Tarana Burke, co-fondatrice du mouvement #MeToo, soulignent l’importance du self-care dans la guérison des survivants de traumatismes. En parallèle, des organisations comme The Loveland Foundation, dirigée par l’activiste Rachel Cargle, s’efforcent de rendre les soins mentaux accessibles, offrant des bourses de thérapie pour combattre les disparités en matière de santé mentale, en particulier pour les femmes noires. Ces exemples démontrent comment des personnalités de divers horizons, célèbres ou non, contribuent à rendre le soin et le bien-être holistique plus authentique, en lien avec de véritables valeurs morales. Leur engagement démantèle l’idée selon laquelle ces pratiques seraient réservées à une élite consommatrice, favorisant ainsi une compréhension collective de la nécessité du soin pour une santé mentale équilibrée, indépendamment du contexte socio-économique.

 

Ensuite, au-delà des personnalités star de la beauty sphere, il y a les produits star : ces produits miraculeux auxquels l’industrie de la beauté attribue des propriétés extraordinaires, sans pour autant instruire ses consommateurs.rices sur la manière de les utiliser de manière efficace. Le collagène en fait partie — let’s be honest, il figure parmi les éléments les plus prisés par les beauty gourous tout en étant le moins évident à maîtriser, devenant ainsi la cible de nombreuses stratégies de bullshit marketing. C’est tout le contraire du Café 48, un concept novateur de boissons au collagène créé par Amandine Fornot. Ce lieu, transformant une ancienne imprimerie du 19e siècle en un vaisseau futuriste inspiré du style Bauhaus, se présente comme une enclave de self-care incontournable où chaque gorgée est délibérément orchestrée pour fusionner les univers du bien-être et de la beauté. Au-delà de son esthétique ultra cool, le Café 48 se démarque en instruisant ses consommateurs.rices sur les propriétés du collagène comme catalyseur d’une résilience physique et mentale en proposant des boissons concoctées sur-mesure adaptés aux besoins individuels. Cette approche instructive du self-care se traduit par des produits stimulants pour le collagène, offrant une réponse à la fois pour la beauté extérieure et la santé mentale. 

 

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par KUPALA 🌿 (@kupala.paris)

La question de la vitalité — une question essentielle aux discussions autour de la santé mentale — est également au centre des préoccupations de Kupala. Dans ce sanctuaire de wellness, chaque traitement devient un geste conscient pour renforcer la vitalité intérieure, et pas seulement extérieure. Kupala tire son nom de la nuit rituelle d’Ivan Kupala, célébrée par les peuples slaves au solstice d’été, honorant le soleil, la lune, la récolte, la fertilité, la joie et l’amour, en lien avec les quatre éléments naturels : le feu, l’eau, la terre et l’air. L’institut imaginé par Bella Labèque et Elena Dimitrenko, Kupala offre un espace chaleureux de banya sur 220 m² au cœur du XVème arrondissement de Paris, au 20 rue de Vouillé. Mais qu’est-ce que c’est le banya au juste ? À mi-chemin entre le sauna nordique et le hammam oriental, les banyas sont conçus pour nettoyer, purifier et détendre le corps, tout en apportant paix, sérénité et joie à l’esprit grâce à des rituels de soin dirigés par les maîtres de vapeur. Que ce soit privé ou public, luxueux ou simple, ce que j’ai appris en testant cette expérience de soin holistique, c’est que plus qu’une tradition, le banya est un temple de ressourcement physique et spirituel ancré dans la culture slave, où chaque détail, des vapeurs aux températures, des senteurs aux soins, est orchestré pour offrir confort et détente. Plus techniquement, le cœur du banya, appelé « parnaya », combine les bienfaits du sauna et du hammam, maintenant une température agréable entre 60°C et 70°C, compensée par un taux d’humidité d’environ 60% — idéal donc pour détoxifier le corps et l’esprit. Plus spirituellement, c’est un lieu de convivialité où l’on partage des moments entre ami.e.s, discute d’amour, de soucis, de rêves et de projets. Mais c’est un lieu aussi adapté à un moment d’introspection en solo, pour se libérer de toute tensions physiques et mentales. Sortir d’une séance de banya, c’est non seulement ressentir un apaisement profond, mais aussi l’impression d’avoir voyager en effleurant la sagesse slave — ce qui permet d’ancrer et d’incarner l’expérience holistique dans une réalité culturelle tangible et humaine. Des pratiques beauté ancrées dans l’histoire et la philosophie antique jusqu’à la quête contemporaine de la beauté intérieure, la connexion entre la santé mentale et le soin de soi reste inextricable — devenant plus que jamais une nécessité pour une santé mentale équilibrée. Nul besoin de le préciser : 2024 est bel et bien sous le signe du cocooning, corps et âme ! 

voir l'article
voir l'article
Beauté

Pourquoi le self-care est la priorité pour ma santé mentale en 2024

Se Connecter

Mot de pass oublié ?

Nouveau mot de passe

S'Inscrire* Champs obligatoir

FermerFermer