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Behind the scenes avec Miista

Amanda Araújo, l'une des stars de “Transformiistas”, la campagne automne-hiver 2023 de Miista, te raconte la vie d’un mannequin Miista et d’une icône de la nightlife barcelonaise.

Photo : Fernanda Liberti

Qu’y a-t-il de mieux qu’une girl’s night ? Voilà l’esprit de “Transformiistas”, la nouvelle campagne automne-hiver 2023 de la it-marque Miista née à Barcelone, shootée par la photographe brésilienne Fernanda Liberti et mettant en scène les icônes de la nightlife barcelonaise Amanda Araújo, Luna Freddie, Martina Liendo & Yasmin Amoura.

NYLON a discuté avec Amanda qui te raconte le shooting de la campagne, les pièces qu’elle voulait emporter chez elle et ses conseils pour passer les best soirées ever à Barcelone.

La nouvelle campagne automne-hiver 2023 de Miista. Photo : Fernanda Liberti

Qu’est-ce qui t’inspire le plus chez Miista et quelle est ta relation avec la marque ?

La coupe distinctive et les finitions géométriques, j’adore ! Pour l’instant, je suis toujours une admiratrice de Miista, mais je m’imagine toujours défiler pour la marque à la Fashion Week.

Qu’est-ce qui t’a le plus plu dans ce shooting  ? 

J’ai adoré faire ce projet avec une photographe et amie aussi légendaire que Fernanda, en plus pour une marque aussi chic, et c’était important d’avoir dans le casting et l’équipe plusieurs personnes trans non-binaires.

Quelle a été la partie la plus difficile ? 

Quand cette journée/nuit s’est terminée !

Quels vêtements ou chaussures avais-tu le plus envie d’emporter chez toi pendant le shooting ? 

J’ai adoré le pantalon que nous avons photographié dans ma chambre et j’étais fascinée par les bottes que j’ai portées tout le tournage. Le mieux, c’est que je les ai portées toute la journée sans ressentir le besoin de les enlever pour reposer mes pieds… C’est le genre de chaussures avec lesquelles les femmes peuvent passer la nuit sur la pointe des pieds et rentrer à la maison comme des divas. Ce n’était pas facile de retirer tout ça, je me sentais vraiment comme une déesse tout habillée en Miista. 

 

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C’était ta première séance photo pour la campagne Miista. Qu’est-ce qui t’a convaincue de participer à ce projet ? 

Ces derniers temps, j’ai cherché à être plus sélective dans mes relations, que ce soit dans ma vie personnelle ou professionnelle. Le premier facteur qui m’a convaincue, c’est que la proposition a été faite par Fernanda Liberti. C’est elle qui m’a recommandée et elle a dit que j’étais la première personne à laquelle ils ont pensé lors de la phase de conception. Fernanda et moi nous sommes rencontrées sur la plage de Barna lors de l’une de ses visites après la pandémie, grâce à des amis communs. Depuis ce jour, nous sommes amies, et depuis ce jour, j’avais l’intuition qu’un jour, nous ferions quelque chose de cool ensemble, et ce jour est arrivé. Quand elle m’a dit que c’était un shooting avec Miista, j’étais très excitée, car je connaissais la marque et j’apprécie beaucoup les maisons qui ont une esthétique et une vision différentes, et qui promeuvent la diversité.

C’était comment de participer à la vision de Fernanda avec Luna, Martina et Yasmin ? 

J’admirais déjà la vision de Fernanda et quand j’ai reçu le moodboard, je l’ai adoré au premier regard et je me suis vue dans chaque détail, à la fois visuellement et en termes d’expérience. Luna, Martina et Yasmin sont des filles belles à l’intérieur comme à l’extérieur, nous nous sommes beaucoup amusées, et après la séance photo, certaines d’entre nous ont fini la nuit au Voodoo Club, c’était très fun !

Quelle est la chose la plus transformiista que tu aies jamais faite ? 

Faire un éditorial sans vêtements, dans les rues de Barcelone, puis organiser des expositions photo-documentaires, dont l’une dans une des stations de métro les plus fréquentées de Barcelone (Espai Mercè) sur la ligne Diagonal 5. Ce shooting était sans aucun doute transformiste et différent, à l’image de la marque.

Au fait, comment a démarré ton parcours d’artiste multidisciplinaire ? 

Je me suis découverte en tant qu’artiste très tôt, enfant, dans un cirque en 2005. Dans le programme du cirque, il y avait une partie scénique qu’on appelait le “Lip sync”, qui est le moment où les jeunes interprètent des chansons généralement sexy. C’est en voyant ces performances que j’ai compris que ma vie devait se dérouler sur scène.

Quelle a été la plus grande transformation de ta carrière ? 

Ma plus grande transformation a été de déménager du Brésil à Barcelone, ça m’a fait beaucoup évoluer en tant que personne, j’ai l’impression d’avoir beaucoup mûri depuis que je suis venue vivre en Catalogne. 

En tant qu’icône de la vie nocturne barcelonaise, quels sont les meilleurs endroits où sortir ? 

Je suis sélective sur les endroits que je fréquente. Voodoo est l’un des rares endroits où je vais, car la plupart des lieux que je fréquente sont liés à mon travail. J’aime les fêtes en plein air, baile de favela, comme au Brésil. Ici, il y a El Baile Todo et CarnaFunk qui agitent la scène baile funk à Barcelone, et je suis vraiment impliquée dans ces événements.

La nouvelle campagne automne-hiver 2023 de Miista. Photo : Fernanda Liberti

Quel conseil donnerais-tu pour devenir une icône comme toi ? 

Crois en toi, crois en tes rêves, bats-toi pour eux, ne laisse personne ternir ton éclat et n’accepte jamais moins que ce que tu mérites !  

Et un conseil pour choisir la paire de Miista parfaite ? 

Demande la pointure exacte, ce sont des chaussures qui ne serrent pas les pieds ; et fais confiance au bon goût de la marque. La nouvelle collection automne-hiver 2023 contient tout ce qu’il faut !

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